Autres sources diverses (développement en cours)
·
·
·
· La désolation des
églises, monastères et hôpitaux en France pendant la guerre de cent ans par
le P. Henri Denifle
· Vetera analecta, (Mabillon)
(extraits concernant le Périgord communiqués par M. Frédéric Biret
· Siège de la ville de Sarlat en Périgord, le 12ème jour du mois de janvier, mis et levé par le vicomte de Touraine (1588). En ligne sur le site Gallica à l'adresse : http://gallica.bnf.fr/.
· Exécution des clauses du traité de Brétigny: mission de John Chandos en Périgord à cette fin, voir le tome II (1875) du bulletin de la SHAP, p. 374 à 379, et un mémoire de la société savante des Deux-Sèvres (Tome 6, 2e série 1866p. 199 à 202). Le document original est à Londres (cote Add. Ms. 4589 ff. 130-140). Une copie est à la B.N. à Paris (manuscrits Fonds Moreau 654 p. 33 à 44).
· Récit de la prise du château de Montignac par le Maréchal Boucicaut (1398) - [Acte royal (Recueil)] Choix de pièces inédites relatives au règne de Charles VI , publiées par la Société de l'histoire de France, 1863 - En ligne sur le site Gallica à l'adresse : http://gallica.bnf.fr/.
· Les "anglois" de Montagrier et les "anglois" d'Angleterre - Douët d’Arcq, Choix de pièces relatives au règne de Charles VI, p. 154, t. 1 - En ligne sur le site Gallica à l'adresse : http://gallica.bnf.fr/.
Commentaire sur ces 2 derniers documents (Cl. R.):
Le premier document, extrait des mémoires de Boucicaut, concerne la prise de Montignac. On notera bien à la fin que les prisonniers (le comte et ses soeurs) sont envoyés "en France" depuis le Périgord (a contrario, la Guyenne n'est donc pas considérée comme "en France", et ce par un maréchal au service du Roi). Par contre le comte prisonnier jure de se comporter désormais en bon "françois". Il n'y a donc nullement recouvrement entre "France" et "françois", ceux-ci regroupant les personnes reconnaissant la suzeraineté du "Francorum Rex" et lui rendant loyalement hommage.
Le deuxième, en français, concerne les exactions commises vers la même
époque sous les murs de Périgueux par des bandes armées venant du secteur de
Ribérac, Tocane et Montagrier.
Il est à remarquer que dans ce document du Parlement royal, l'expression "anglois,
d'Angleterre" est utilisée, pour préciser l'origine géographique
précise d'une personne, afin de la distinguer de la masse des "anglois
de Montagrier". Et nous trouvons de façon similaire dans
les récits similaires du Livre Noir en occitan des "anglès
d'Angleterra", qui sont ainsi distingués des "anglès"
(les habitants occitans au service de la cause du roi d'Angleterre) d'Aubeterre
ou de Tocane.